Link GreenWood || Finie mais en correction

Link n’a jamais connu sa mère. Cette dernière est morte en couche. Son père n’ayant pu se pardonner de n’avoir pas pu aider sa femme, à laisser son fils à son frère, sa compagne cherché à avoir un enfant, sans grand succès. Malheureusement, le frère ne réussit à accepter Link comme son propre fils et ne parvient pas à la voir comme un enfant gentil, doux, innocent. Sa fiancée ne faisait, en plus, que s’occupait exclusivement de l’enfant. Vers les trois ans du jeune blond, dans une rage folle, il tua sa compagne en faisant passer ce meurtre par un parfait accident. Par la suite, il maltraita son fils adoptif.
A cet âge, l’enfant pense vraiment qu’il mérite tout ces coups, et qu’il est méchant, un monstre, qu’il ne devrait pas exister… Link n’a pas échapper à la règle, et fit tout pour ne pas s’approcher des autres enfants, rire avec eux, jouer avec eux … Il risquait de les contaminé après tout, non ?
Durant sa première année de CP, un intervenant urgentiste est venu. Très gentil, il a expliqué son métier à toutes les classes, puis, avec des mots d’enfants, il s’est mit à expliquer ce qu’était un enfant maltraité et que si l’un d’entres eux l’étaient, il fallait le dire à la maitresse ou appeler Police Secours. Link s’est reconnu dans les mots du médecin, mais il lui a fallut plusieurs semaines avant d’aller l’avouer à la seule personne a qui il faisait confiance : sa maîtresse. Pour approuver ses mots, il lui a montré des bleus noirs, jaunes, violacés, dans des endroits que l’ont ne voit pas et que, même en tombant, les enfants n’ont pas.

Placé en famille d’accueil, il s’est peu à peu ouvert, jusqu’à totalement oublié son père adoptif et ses malheurs. Son père biologique refusa la garde et comme la famille d’accueille s’attacha pour le jeune garçon, elle demanda l’adoption. Demande qui fut acceptée : le père n’acceptant pas la garde, l’enfant était devenu la pupille de l’État.
Choyé par sa nouvelle famille, Link est devenu un enfant souriant, en moins de trois ans, joyeux, plein de vie. Il gardait tout de même quelques craintes qu’il oublié dans différentes activités. L’équitation reste sa plus grande passion, surtout avec sa chère et tendre jument, Épona. Après avoir vue de nombreux films sur Robin des Bois, il demanda l’autorisation de pouvoir apprendre le tire à l’arc. Ses débuts étaient vraiment catastrophiques, maintenant, il a un niveau bon mais pas toujours aussi précis que son instructeur. Il s’est aussi mis à l’étude du kendo, art-martial qu’il adore vraiment et qu’il n’est toujours pas prêt d’arrêter.
En dernière année de collège, en troisième donc, il déclencha une longue et violente bagarre. Un idiot roux de sa classe avait ouvertement inculte l’une de ses plus grande amie et s’amusait à la faire tourner en bourrique. Incapable de le calmer avec de simple mot, Link a utilisé ses poings et ses pieds. Au final, tout c’est finit en bataille générale et l’école a du appeler la police pour calmer les adolescents. Les deux « coupables » se sont fait virer de l’établissement pour qu’il n’y ait plus de tension entre les élèves suite à cela.

Son année de seconde et de première, Link les a passés au Japon, à son plus grand bonheur. Pour son avenir, c’était très primordial pour lui. Sa sœur adoptive, de plus, voulait absolument vivre dans ce pays ou anciennetés et traditions se côtoient encore. Il progressa alors dans l’art de manier le sabre, mais aussi à dompter les cheveux. Pour le tire à l’arc, il se promit de pouvoir participer au Toh-Shiya à ses vingt-ans (cf : passage à l’âge adulte au Japon !).
De retour en France, il a du postulé dans plusieurs école pour pouvoir passé son année de terminale. Le seul lycée à l’accepté fut HighSchool Pandora pour son plus grand bonheur. Il espère vraiment pouvoir se faire rapidement des amis. Et puis, qui sait … peut-être rencontrer d’ancien camarade de classe ? Excepté cet idiot de roux, bien entendu.