Allez, ce coup ci je joue moi!

Je suis né à Lyon, en l'année 1998 tout bêtement. Mon père rentrait assez tard à la maison, moi et mon petit frère le voyons assez souvent, mais tard. Dans les petites classes, j'ai été vu comme non sociable avec ceux de mon âge, mais ce n'était pas vu à mal, je n'arrivais pas à m'inscrire entre ces personnes, j'ai sauté une classe, découvert comme précoce. j'étais mieux avec ceux d'un an de plus, mais j'ai une mentalité de solitaire, préférant rester seul, détestant faire du mal aux autre je préferait me mettre à l'écart... Et ils ne m'interessaient pas. J'avais des amis autistes et du même genre, ce sont ceux qui sont rejetés, je préfère aller vers eux, ils sont plus sympathique de leur différence et ont besoin d'amis. Je suis plus à l'aise avec ceux là. Celà me valait donc une exclusion un peu plus grande, mais dont je me fichais bien, seul ou avec ces amis là, aucun problème pour moi, c'était certes plus agréable avec eux. Je n'ai pourtant pas de différence sur ce point là, les amis de gens différents sont vu différents; je ne nierais pas que j'étais excentrique... à mes six ans, mon père a divorcé, ce fut bien évidemment un choc sur le coup, mais je m'y suis vite fait. Quelques années plus tard, rebelote, deuxième divorce de mon père. J'étais au collège, je venais de me trouver un très bon ami avec le quel je suis resté jusqu'en troisième, mais je développait déjà ma mentalité sombre cachée. Scarifications. Mais cette période fut courte, deux mois, maintenant je garde pour moi ce que je pense vraiment, relfechissant ardemment avant de parler, ne voulant pas blesser et ne pas créer de problèmes, pensant à tout et n'imoporte quoi tout le temps. Une vision péjorative d'à peu près tout, pas dépressif non, je ne le serrais pas, je ne me plaindrais pas, je vivrais avec en prenant sur moi même, comme toujours. Mais aussi, je m'amuse avec mes amis, restant tout de même attentionné à ne pas faire de bétises d'adolescent. Je ne sais pas vraiment quoi faire, mis à part des études scientifiques, mais pour plus tard, bien que je souhaite faire professeur de physique, je ne sais pas si j'arriverais à vivre, j'espère seulement que c'est la faute de l'adolescence qui me fait me poser des questions aussi importantes que la mort, mais j'en doute. Mon éspèrance est d'arriver à vivre sans faire une trop grosse erreur... Je ne sais pas si je réussirais à vivre avec cette mentalité que je garde pour moi, je ne sais pas si je serais poussé à bout tôt ou tard...