Lyria Nother ♫

« Je suis désolé » Une phrase qui semble banal, enfin qu’on dit très peu dans une journée. Pourtant cette phrase était le quotidien de Lyria. Pourquoi ? Eh bien prenez place, je vais vous expliquer tout cela ! Le passé d’une jeune fille qui derrière son sourire, cache une chaine de passé bien différente de ce qu’elle montre.

Il y a quelques années, 16 ans, un crie perce une chaleur pesante d’un mois de juin, malgré que le début de l’été vient de commencer, la chaleur et palpa. Mais ces cries ne sont pas ce de douleur, ce sont ceux d’une vie qui vient d’entrer dans ce monde. Le nouveau né est une petite fille, le premier à prendre l’enfant est un homme blond, très souriant et heureux de voir le petit être en pleine santé. Malgré son teint blanchâtre et qu’il a du mal à tenir debout, il la berce du mieux qu’il peut. Après que les cries ont cessés, il l’approche d’une mère blonde plus foncée. Il lui tend l’enfant endormit, que celle-ci prend avec un grand sourire et la serre. Pourtant ce sourire sera le seul que la petite n’aura sûrement t jamais le souvenir. La mère retire un peu le drap qui enveloppe le nourrisson, et d’un coup, le sourire disparut, laissant place à un regard de stupeur.

« Tu as vu notre petite fille à les cheveux de ton père, c’est amusant non ? » dit le père amusé

Elle n’était pas blonde, la petite née a une chevelure orange. La mère un instant eu les bras qui tremble, laissant la petite rouler dans le lit l’ayant lâchée. Le père reprend l’enfant de justesse qu’il tombe du lit, croyant que sa femme eu la faiblesse de l’accouchement la toucher. Mais non, ce sois disant accident était voulu. La mère dévisage l’enfant, comme une chose qui n’aurais jamais du venir au monde. Contrairement au père complètement gaga de sa petite fille qui dort.

« Je vais t’appeler Lyria, sa t’ira très bien ! »

Malgré l’amour d’un père, l’amour d’une mère est irremplaçable. Mais, il fallut croire que cette mère, qui voulait cet enfant tellement, à la vu de cette chevelure le rejette comme une peste qu’il soit. Refusant de donner le sein, refusant de ce lever la nuit pour voir comment elle allait. Refusant tout de cet être qui a pourtant ses gênes. Pourtant tout ce qu’a fait la petite Lyria, c’est de venir au monde, c’est tout.

Mais pourtant encore ce ne serais rien elle a son père la petite. Non sa propre mère n’hésité pas à la persécutée. Alors que la petite rouquine ne faisait que montrer son amour à cette femme, celle-ci n’hésite pas à la repousser avec ses paroles blessantes.

« Ne m’approche pas avec ton horrible chevelure ; Tu ne mérite pas de vivre ; Tu me fais honte ; Tu es la honte de la famille ; Tu n’es rien ; T’a chevelure est immonde ; A quand la maladie te touche. »

Bref des paroles qu’une vraie mère ne dirait jamais à son enfant. De plus tout commence à basculer, le père qui est atteint d’une maladie la tellement affaiblit qu’il ne peut plus quitter son lit des à présent et donc laisse la mère s’occuper de son enfant, naïf de croire que celle-ci s’en occupe comme il faut. De plus pour traumatisée sa petite fille, la femme lui laisse sa chevelure orange pousser pour ce moquer d’elle encore plus. La petite n’arrête pas de pleurer, et dés qu’elle arrivé à parler, elle disait « Je suis désolé » phrase qu’elle répétait sans cesse devant sa mère qui la traiter comme un vulgaire déchet. Pourtant, malgré ces choses horribles, l’enfant pardonnait sa mère, après tout l’amour d’un enfant pour sa mère est considérable.

Mais vous allez vous demander ce qui a de si dérangeant dans cette chevelure ? Eh bien là mère voulait une blonde comme les blés. Pour la simple raison que la famille de son mari, sont tous blond de plus, sa sœur à épousée un homme au nom des Bezarius. Pour elle c’était une honte de présenter une fille rousse dans cette famille blonde. Elle voulait ce faire bien voir, elle voulait juste être apprécié de cet homme blond Bezarius, juste pour une question d’argent, car oui, cette mère n’a fait qu’épouser le frère de la femme du Bezarius juste pour être propulsée en haut de tous. Alors que son plan aller bien cette tâche rousse lui a tout ruinée sa montée. Bien sûr elle pensait en vouloir un deuxième, mais le père refuse de refaire un autre à cause de sa santé de peur de la donné au deuxième vu que la petite eu la chance de ne pas attraper cela. Donc il y a vraiment que la petite qui a ruinée son plan si parfait pour cette femme.

Nous sommes maintenant à la quatrième année de vie de la petite Lyria. Sa chevelure continue de grandir sous ordre de sa mère, ses yeux sont tout le temps gonflés. Le père voyant la crise de sa femme pour avoir un deuxième choisit l’adoption, comme il refuse toujours d’en faire un autre. La mère n’ayant pas appréciée cela refuse de l’accompagner sous prétexte qu’elle ne se sent pas bien. Le père va donc lui-même en fauteuil roulant et en emmenant sa petite fille avec lui pour la sortir un peu. Arrivé à un orphelinat, Lyria était subjuguée par tout ses enfants le sourire aux lèvres, la joie. Le père la pose sur le sol et la pousse un tout petit peu pour qu’elle va jouer avec eux le temps qu’il s’occupe de la paperasse. Lyria un peu curieuse avance dans la cour, un peu distraite par n’importe quoi, c’est la première fois qu’elle voit autant d’enfant. Lyria avance partout dans la cour et c’est alors qu’elle percute quelque chose au sol. C’est dans un « Kyah » qu’elle tombe au sol la tête la première. La gamine entend comme un « hum ? » et se retourne pour voir après qu'elle c'est relevée de sa chute. C’est alors qu’elle vit un garçonnet à la chevelure blanche et aux yeux gris. Elle le fixe stupéfait de cette couleur bien étrange.

« Une personne qui est vieux » dit-elle avec une voix des plus surprises.

Le jeune homme lui la fixe complètement étonné de cette remarque un peu hors sujet vu son âges de gamin.

« Mais non ! »

Lyria penche la tête sur le côté, un doigt sur la bouche en se demandant pourquoi il dit non.

« Mais tu as les cheveux blanc, et tu dors donc tu es un vieux ! »

Le gamin la regarde complètement blasé devant cette logique un peu stupide quand même. Pour lui une personne âgée ça des rides et c’est un peu plus grand quand même. Lyria contente de sa logique penche la tête de droite à gauche.

« Oui bah hein, de nous deux t’a les cheveux les plus original d’abords. »

La gamine face à cette remarque, ce voit ses yeux se remplir de larmes, encore une remarque sur ses cheveux. Celle-ci se met à sangloter en disant encore cette phrase. Le gamin lui grossit ses yeux devant ce spectacle unique d’une gamine en larme juste pour ses cheveux. Voulant calmer le jeu, il lui frotte le haut de la tête avec quelques petites rougeurs de gêne.

« Non mais elle est jolie ta couleur, c’est bien d’être original. »

Dit-il en détournant le regard d’elle un peu gêné. Cela n’a pas l’air son genre de faire des compliments, mais ça calme un peu Lyria. Le père revient enfin et prend sa petite fille qui renifle et lui ensuit ses larmes. Il regarde le petit albinos, et lui frotte le haut de la tête comme signe de remerciement d’avoir consolé sa petite fille.

-Tu as un prénom, petit ?
-Light…
-Eh bien Light tu voudrais faire partie de ma famille ?
-Mais il est vieux… dit la petite


Le père rit face à cette remarque pleine d’humour pour lui. Mais cela ne l’empêche pas de l’adopter, car il pense que ce jeune homme mérite une famille et que Lyria a besoin d’un frère comme lui, même s’ils ne ce connaissent que de cinq minute, peut être le destin ?

Un mois passe et le petit Light arrive dans sa nouvelle maison. Mais une personne n’a pas appréciée cela, la mère qui voit que lui non plus n’est pas blond, elle pense que le monde est contre elle à ce moment là. La santé du père défaille encore plus et ne quitte plus le lit ni sont fauteuil roulant. Alors que Lyria suit son nouveau frère partout, la mère ne peut pas s’empêcher de faire une remarque devant les petits.

« Au moins les déchets se suivent. »

Lyria la regarde, et redit encore sa phrase courante en se frottant les yeux et s’éloigne de Light ne voulant pas décevoir sa maman. Mais par contre, une personne pour la première fois de la vie de la mère lui répond.

« Je ne suis pas un déchet ! »

La mère fait de gros yeux devant le culot du garçonnet qui a répondu à celle-ci. La femme énervée par cette réaction tente de frapper le gamin. Ce qu’elle a réussie, mais celui-ci ce défend en la mordant. La femme hurle et le prend comme un sac de patate et le jette dans un placard et le ferme à clef. A peine arrivé dans son nouveau chez lui, il ce fait déjà enfermer, c’est du message de bienvenue ça… Lyria regarde sa mère faire sans rien faire, trop peur de la décevoir même si cela fait longtemps que cela l’est. Après qu’elle est partie plus loin, la petite ouvre la porte du placard.

« Désolé… » Dit elle en baissant le regard

C’est alors que l’enfer pour deux petits commence, les coups maintenant sont d’envergures. La mère les empêche de voir leur père au cas où. Mais le garçon lui résiste plus que la petite qui n’ose rien dire. Mais comme vous le pensez cela c’est bien terminé un moment ? Bien sûr sinon Lyria ne serait pas là ! Une bonne année passe, et Light est allé beaucoup trop loin en volant un gâteau car il a faim. La mère saisit un balai, ras le bol de ce gamin trop rebelle. Alors qu’elle a réussi à le cerner et qu’elle va le frapper de toutes les forces qu’elle a, une personne s’interpose au coup du balai et vole plus loin dans la pièce. Les deux fixent cette personne qui a quand même fait un bon chemin sans toucher le sol dans la pièce. Pour une fois Lyria c’est interposé, pour une fois Lyria a osée se monter devant sa mère, pour l’empêcher de faire mal à son frère, car elle y tient, et n’aime pas le voir se faire frapper, c’est sûrement du ras le bol de sa part. La mère encore plus en colère que ce soit sa fille, s’approche d’elle bien énervée et l’afflige de coup tout en l’insultant comme elle le fait si bien. Mais d’un coup le balai qui sert d’arme, se fait stopper par une personne. Ce n’était pas le frère, non il est à coté de cette personne essoufflé. La mère se retourne énervée, mais cet énervement ce change vite en stupeur. Son mari, debout hors de son lit, devant la scène de sa petite complètement remplis de bleu. Son regard qui est toujours calme, se change en un regard noir, envers cette femme, qui maintenant pour lui est une personne nuisible à sa famille. L’homme blond lui retire le balai des mains et le jette du mieux qu’il peut loin de celle-ci.

« J’espère que tu ne compte pas rester plus longtemps ici ?»

Dit sur un ton calme, mais au fond on sent toute la colère qu’il condense en lui. La femme hystérique décide de quitter ce lieu impuissante, devant cet homme, même s’il est malade le moindre problème lui retournera dessus, donc elle ne peut rien faire. Elle prend quelques affaires et quitte cette maison qu’elle ne veut plus revoir. Le père se laisse tomber à genoux sur le sol un peu épuisé de tenir sur ses deux jambes. Il traine sa petite fille vers lui et la serre.

« Je suis désolé de ne pas être intervenue plus tôt »

Il est vrai qu’il a mis plus de cinq ans à agir, mais sa maladie ne l’aide pas trop. Mais maintenant cette femme horrible n’est plus là, donc pour le père tout va allait pour le mieux. Il frotte la tête de son petit dernier et le ramène vers lui pour le féliciter de son courage en le serrant. Bref cette famille peut enfin revoir la lumière du bonheur.

Dés que cette femme est partie. Les deux petits ont put rencontrer deux personnes presque de leurs âges de la famille Bezarius. Oz et Ada Bezarius, deux têtes blondes aux yeux vert, qui stupéfait les deux tellement ils sont pareil. Bon au début ils étaient tout les deux dans leurs coins, mais les deux Bezarius les ont sorties pour jouer avec eux. Lyria n’arrive pas trop à courir avec ses longs cheveux orange qui ont encore trop poussé. Elle marche presque dessus et donc tomber dans la douleur. La petite tête blonde mâle rit devant cette scène drôle, ce qui déplait à la petite rousse.

« Tes cheveux sont long ! Tu les laisses pousser car tu veux être original ? »

Dit il en riant, mais ce n’est pas drôle pour la petite qui fond en larme en disant « désolé ». Le jeune Bezarius penche la tête devant la petite en larme.

« Mais faut pas pleurer ils sont orange comme les oranges ! Est c’est bon les oranges ! Donc ça veut dire que tu es bien ! »

Il tente de se rattraper en faisant un compliment à sa façon, ce qui calme un peu la petite.

« Bon par contre t’es comme les carottes aussi et y a pas beaucoup de gens qui aime ça ! »

La c’était plus pour la taquiner, ce qu’elle n’a pas compris et refond en larme. Oz rit, tout en lui frottant le haut de la tête. Il a bien comprit qu’il est facile de taquiner sa cousine au moins.

« Mais par contre tu devrais te les attacher en couettes ! Tu seras beaucoup mieux pour jouer ! »

Il prend sa sœur Ada et celle-ci accroche les cheveux de la demoiselle en deux couettes symétriques avec des rubans. C’est alors que la mode des rubans pour Lyria commence, plus jamais elle ne sort sans ses couettes.

Les années ont passée, et nous somme maintenant cette année. Notre Lyria a gagné plus confiance en elle, et aussi gagné en caractère ce qui est bien au moins, enfin pour certaine personne, d’autre c’est à voir on va dire, car maintenant notre Lyria est passé du stade de petite pleurnicheuse à jeune fille têtue. C’est vrai que c’est radical. Mais n’est il pas mieux de voir une personne sourire tout le temps, qu’une personne à toujours ce morfondre sur son destin ? Bref notre demoiselle fait maintenant partie d’une école réputé, où ce trouve sa famille. Mais cela ne va pas la stopper maintenant qu’elle a de l’énergie à revendre ce n’est pas des cours qui vont l’arrêter, loin de là même…

T E S T - R P :