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Dim 22 Jan - 17:27
Kayser Emil


Carte d'identité

Âge : 17 ans
Genre : Neutre avec un pénis.
Origine(s) : Allemande avec la nationalité française.

Groupe : Élève

Classe : Première L
Physique

Corpulence : Mince sans être maigre, il pèse environ 67 kilos pour un mètre 80 de haut. Plutôt musclé et souple, ses heures de danse y sont fortement pour quelque chose.
Peau : Une peau très blanche, dépigmentée, ponctuée de nombreuses cicatrices dont quelques-unes, discrètes, sur le visage. Plutôt sèche et sensible au soleil, il l'hydrate de temps en temps, sans plus, par flemme.
Cheveux : Blancs avec des nuances grises selon l'éclairage, ses cheveux lui arrivent en bas du dos, au creux des reins pour être exact. Exagérément doux, ils sont ce qu'Emil a de plus précieux maintenant qu'il les assume pleinement. Généralement, il les garde lâchés, pour pouvoir jouer avec, passer sa main dans ses mèches, mais il lui arrive également de les attacher en une queue de cheval haute.
Yeux : L'iris bleu, la pupille d'un rouge foncé, ses yeux, en plus d'être photophobes, présentent un nystagmus, soit un oscillement des yeux, léger. De plus, comme Emil est atteint d'albinisme, sa vision est floue, à cause de l'excès de lumière pénétrant l'oeil.
Particularité(s) : De nombreuses cicatrices sur les bras, quelques-unes sur le visage, dont le coin de la lèvre.
Handicap : Photophobie ? Vision déficiente ?

Style vestimentaire : Emil n'a pas beaucoup de critère pour son style vestimentaire. Il porte généralement des cols larges et des hauts légèrement amples pour être à l'aise en permanence, mais lorsqu'il danse, il privilégie le près du corps afin de ne pas être gêné dans ses mouvements.
Sans jouer sur son androgénie, il aime de temps en temps porter des jupes, même si cela ne relève pas de son quotidien comme le maquillage qu'il porte tous les jours.
Accessoires : Il porte le plus souvent des lentilles, mais lorsqu'il est fatigué ou qu'il se lève en retard, il opte pour des lunettes. Une bague se trouve à son annulaire gauche, non pas parce qu'il est fiancé, mais parce qu'elle ne tenait qu'ici et qu'il y tient trop pour la laisser trainer dans une boite.



Caractère

A première vue, Emil peut sembler froid, peut-être même snob. En effet, il n'aime pas qu'on l'accoste pour une raison qui lui semble sans importance et n'hésite pas à envoyer bouler les personnes un peu trop collantes qui ne lâchent pas prise. Loin de se soucier des problèmes de ceux qu'il ne connaît pas, il ignore habituellement tout ce qui l'ennuie ou l'agace, ce qui peut être vexant, lorsqu'en plein milieu d'une conversation, il se met à vous fixer sans aucune attention avant de se retourner et partir dans la direction inverse, pensant à quelque chose de plus intéressant à faire. Cependant, si ce premier côté peut largement rebuter, il fait de nombreux efforts lorsqu'il apprécie la personne avec laquelle il discute. Soit, il n'est pas toujours attentif et parle souvent bien trop vite, sans articuler, ce qui rend les choses incompréhensibles, mais il ne s'enfuit pas sans un mot de plus.

De plus, une fois cette première impression passée, l'albinos s'avère être une personne douce aussi bien dans sa manière de parler que dans ses gestes. Tactile, il a besoin du contact avec les autres pour communiquer à son aise. Plus la personne en face de lui acceptera ses gestes, plus il sera à l'aise et souriant. En retour, Emil est plus sélectif. Tout le monde n'a pas le droit de le toucher. Il faut qu'au préalable il ai accepté la personne dans son espace vital, sinon, il la repousse, embarrassé.

Joueur, il n'est jamais contre une bataille d'oreiller ou d'un jeu de société, mais s'il joue, il gagne, ça va de soi. Mauvais joueur, il lui arrive de bouder lorsqu'il perd, gonflant les joues comme un enfant. Et pour gagner, il est prêt à tout. Sans honte aucune, tricher n'est absolument pas un problème. Il est même capable de redoubler de fourberie pour parvenir à ses fins quoi qu'il arrive. Faire des échanges sous la table, cacher ses cartes sous le plateau de jeu ou ses chaussettes,  s'asseoir sur ses pions, changer les points, rien n'est à laisser tant qu'il peut gagner.

Emil est également taquin. Il aime embêter le monde, surtout quand celui-ci réplique. Il reste cependant dans le supportable et ce n'est jamais bien méchant. Il ne va pas embêter quelqu'un juste pour le plaisir de le voir lui hurler dessus, il s'agit plus d'affection, si bien que lorsque la personne qu'il taquine le prend mal, il ne comprend pas bien pourquoi il s'énerve. Alors il préfère abandonner celui ou celle qui ronchonne pour aller se goinfrer de pâtisseries, ce gourmand.

Pour palier à son abus de nourriture constant, l'albinos est un véritable sportif. Danseur depuis son plus jeune âge, il aimerait faire sa vie entre chorégraphies et musique. Il aime sentir son corps se tordre, s'étirer, se fatiguer puis se détendre sous la douche. En revanche, tout ce qui est sport d'équipe, comme le volley et le football, n'est pas sa tasse de thé. Il aime danser en groupe, mais courir après une balle, rentrer dans les autres membres, il n'aime pas. Il a besoin que ce soit organisé, que tut soit à sa place et qu'il n'y ait pas d'imprévu.

Fauteur de trouble de première, il aime faire les plus grosses bêtises possible. Non pas pour faire suer le monde à proprement parler, quoique, mais plus pour tester les limites que l'on veut lui imposer. Casse-cou, il ne recule devant rien et n'hésite jamais à s'embarquer dans les pires situations.

Cependant, jamais il ne rejette la faute sur les autres. Lorsqu'il fait une connerie, il l'assume. Guidé part ses principes, il ne supporte pas que l'on rabaisse les autres pour une raison x ou y. Il tient également en horreur le « Tu as quel âge pour essayer de m'apprendre la vie ? ». Pour lui, la liberté de pensée et surtout de s'exprimer ne tient pas compte des âges ou même des sexes, si bien que répondre à un professeur ou lui tenir tête est plus fréquent chez l'albinos que l'on pourrait le croire de son caractère effacé en cours. S'il a quelque chose à dire, il le dit, que son interlocuteur soit un adulte ou non.





Carnet de bord

Emil vint au monde le 7 janvier 2000, dans les alentours d'une heure du matin, et dire qu'il avait chamboulé le quotidien de ses parents était un euphémisme. Sa mère alors à peine âgée de 19 ans était en première année de prépa commerciale alors que son père, alors âgé de 24 ans, tentait de terminer ses années en médecine.
En arrivant, le bébé qu'était Émil à cette époque avait changé la tranquillité du lieu de vie pour en faire une habitation où constamment l'on pouvait entendre des gazouillis joyeux et des petits pas se balader. Il apportait de la vie entre les quelques murs de l'appartement si bien rangé et organisé, mais ce petit bout d'homme n'était pas le bienvenu et il eut bien vite fait de le comprendre en grandissant. Il n'avait pas le droit de toucher à quoi que ce soit, ne pouvait faire du bruit ou même jouer à son bon vouloir là où il le souhaitait au risque de subir les excès de colère de son père qui ne supportait pas les bruits de l'enfant. Alors, souvent, il restait enfermé dans sa chambre, à regarder les images de livres qu'il oubliait parfois de ranger.

L'entrée en primaire de l'albinos ne fut pas des plus simples. Apprendre à lire s'avérait être un vrai calvaire pour le garçon qui tous les soirs versait des torrents de larmes sur les feuilles de lectures de son petit classeur qui finissait par traverser la pièce sous la colère de son créateur exaspéré par son comportement.

« Ce gosse est idiot, complètement idiot je te dis !
-Mais non, laisse-lui le temps... Calme toi s'il te plaît... »
Peu de fois sa mère s'interposait entre les deux hommes de la maison, elle préférait rester discrète, effacée, face au caractère de l'homme qu'elle aimait, se contentant de le calmer lorsque, trop anxieux, il se mettait en colère et commençait à trembler sans pouvoir se contrôler. Dans ces moments, celui-ci ne pouvait s'empêcher de replacer chacun des objets de l'appartement à leur place assignée marquée d'un coup de crayon qui permettait à tous, meubles comme stylos, de retrouver l'emplacement exact de chaque chose.

« Papa, mes amis m'ont dit que je ressemblais à un fantôme. Pourquoi je ne suis pas comme eux ? »
Le père regarda son fils de 7 ans, assit à ses côtés dans la voiture.
« Parce que ton fonctionnement est bizarre. L'intérieur de ton corps ne fonctionne pas bien et tu ne peux rien y faire. Tu ressembleras à un fantôme toute ta vie. »
Ce n'est pas ce qu'attendait l'albinos de la part de son père. Il n'avait pas l'impression d'être si différent, si étrange. Alors, c'est son un mot de plus qu'il laissa son père le rhabiller, replaçant sa chemise et sa cravate, ainsi que son pantalon en toile bleu marine, puis sortit de la voiture pour se rendre à l'école, traversant le reste de la rue seul, à ruminer ses pensées.
En rentrant le soir même, Émil fut étrangement calme. Il ne prononça pas un mot jusqu'à ce que sa mère ne vienne lui poser des questions avant qu'il n'aille se coucher. Une fois fait, elle alla parler au père, sans le presser, doucement, d'une voix calme.
« On devrait peut-être l'inscrire à une école de danse .
-S'il reste aussi calme, fais ce que tu veux. »
Encore une fois, il restait sourd aux paroles de sa femme. Il était penché sur son ordinateur, sa jambe tressautant nerveusement alors que ses doigts se crispaient sur le bord du bureau. Il était à bout de nerf.

« À demain Madame ! »
La petite touffe blanche sortit de la classe en courant. Aujourd'hui, comme depuis maintenant deux ans, Émil prenait des cours de danse et il en était ravi. Alors, tout excité il se rendit à la salle où se déroulait le cours qui s composait de seulement quelques membres. Souvent, il restait tard le soir, sa mère trop occupée et son père tenant à ses moments de calme. De toute manière, ces quelques heures de plus, accompagné de son professeur de danse, étaient le moment qu'il préférait dans la semaine. Elle lui apprenait des mouvements plus complexes, variait entre le classique et le moderne, si bien qu'à 10 ans, Émil n'en était plus à son premier balai. Il était bon. Réellement bon. Mais son bien-être, son moment de plénitude, prenait fin lorsqu'il rentrait. Que son père s'énervait parce qu'il était mal habillé, que sa chambre était en désordre alors qu'il venait de ranger et n'avait pas mis un pied dedans encore. Et tous les soirs il supportait les excès de colère de son père qui ne loupait pas une raison de lui envoyer sa main dans la figure, à plusieurs reprises, sous les yeux de sa mère, impassible, qui finissait par détourner le regard lorsque celui d'Émil lui implorait d'intervenir. Et il finissait la soirée à pleurer, sans un bruit au risque de voir son père débarquer, et s'endormait roulé en boule dans son lit.

« Baisse les yeux quand je te parle ! Tu ne ranges rien ! Tu devrais avoir honte de toi ! Regarde- moi ça ! Une calamité ! »
Onze ans. Emil soutenait le regard de son père qui montait rapidement en pression. Il se sentait humilié, mais surtout, en colère. Il en avait marre d'être une erreur pour son père, de ne jamais bien faire les choses, et aujourd'hui comme depuis quelques jours, il lui tenait tête, si bien que l'adulte perdait ses moyens et redoublait de force dans les punitions. Et aujourd'hui, l'albinos avait passé un nouveau cap. Il prit ce qui se trouvait sur le meuble du salon et jeta le tout au sol, couru jusque dans l'entrée où il renversa le meuble à chaussures. Il déplaça les meubles sous l'oeil horrifié de son géniteur qui se mit à hurler sur le pauvre enfant. Puis il l'attrapa, lui mit une mandale bien plus forte que les autres. Si bien qu'Émil se déconnecta. Il ne bougea plus. Stoppé net. Il se sentait soudainement vide. Incapable de quoi que ce soit. Jamais il n'avait aussi violent. Des claques, il s'en était pris. Puis, comme le garçon ne s'excusait pas, semblait être devenu muet en l'espace de quelques secondes, le père s'énerva plus encore. Il attrapa le petit corps pour le mener à la douche il le balança. Puis il alluma l'eau froide et alors que l'enfant tentait de s'enfuir, il le repoussait dans la cabine, ne se souciant guère de lui lorsque glissa et se mit à pleurer, recroquevillé sur lui-même alors que son bras semblait vouloir se détacher de son corps. Il se sentait étouffé, mort. Et lorsqu'il se retrouva seul dans la salle de bain, sa mère le rejoignit bien vite. Elle le sécha, remarquant les quelques bleus sur son corps, mais surtout son bras qui avait pris un drôle d'angle. Alors il avait fini aux urgences. Il n'avait rien dit, rien fait, juste regardé dans le vide. Et les jours qui passaient ne s'étaient en rien calmés. Son père ne supportait plus sa présence, son manque de réaction. Il ne mangeait plus et tout ce qu'il trouvait à redire du comportement de son fils était qu'il était difficile et qu'il ne comprenait pas à quel point il devait se sentir redevable.

La professeur regardait son élève danser. Il n'était pas concentré et ce depuis un moment déjà. Il semblait avoir du mal à reproduire des mouvements qui pourtant lui étaient habituellement simples. Mais plus qu'une réelle difficulté, il semblait réticent à étendre son corps, l'exposer, fièrement. Il était pudique. Bien plus qu'avant, et si au début elle avait mis cette soudaine timidité sur le dos de la préadolescence, elle avait vite déchanté en voyant les nombreux bleus sur son corps. Alors elle n'avait pas posé de questions. Elle l'avait simplement ramené chez lui, mais au lieu de le laisser sur le pas de l'immeuble comme elle l'avait toujours fait. Elle le raccompagna. Un peu en retrait seulement et lorsque sous ses yeux elle vit la gifle partir, elle ne chercha pas plus longtemps.
Tout s'était très vite enchaîné. Elle l'avait embarqué et avait appelé un numéro qu'il ne connaissait pas. Ils étaient venus le chercher quelques jours et sans qu'il ne puisse dire quelque chose, il s'était retrouvé dans une maison pleine d'enfants comme lui. Et alors il comprit. Et il pleura. Parce qu'il ne lui en voulait pas. Parce qu'il restait son père et que même si sa mère n'avait jamais réagi, il l'aime tout autant.
Et une famille était venue le chercher. Sans aucun repère il s'était retrouvé avec une mère et un père de substitution. Du moins, c'est de cette manière qu'il était censé les voir. Et puis il y avait ce petit garçon, d'un an plus jeune.

Toujours très droit sur sa chaise, toujours très calme et silencieux, sans un mot de travers, très ordonné et soigneux, Émil ressemblait plus à un petit noble qu'à un enfant. Il fuyait tout contact tendre, ne se sentant pas prêt pour ça et surtout, il évitait le plus jeune. Il avait ce petit quelque chose qui faisait doucement sourire Émil lorsqu'il faisait des bêtises. Oh combien de fois il avait dû résister à la tentation de le rejoindre ? Il l'attendrissait un peu avec sa bouille d'ange et ses airs capricieux, alors il lui arrivait de couvrir ses plus grosses bêtises, stressant ensuite d'être découvert au point de ne plus manger.
Doucement, il reprit la danse qu'il avait laissée pendant deux ans. À maintenant douze ans, il se sentait enfermé dans son corps, mal. Alors ses « parents » cédèrent rapidement à la demande de l'albinos, lui qui ne réclamait jamais rien. Il prit ainsi des cours particuliers, cherchant à atteindre un nouveau niveau. Sauf qu'il bloquait et que sa professeur ne trouvait pas de solution.

« Qu'est-ce que tu fais ? »
Emil regardait Adam, accroupit dans les toilettes féminines de l'établissement, d'un œil curieux. Aujourd'hui, il était de bonne humeur, et voir le plus jeune en train de faire il ne savait quoi qui sentait la gaffe à plein nez l'intéressait. Alors il s'approcha, sans se soucier du regard de quelques filles. Il haussa un sourcil en voyant le plus petit essayer de casser les wcs, surement pour inonder. Alors, dans un élan de gentillesse, il attrapa tout le papier toilettes qu'il déroula dans le fond, avant d'y ajouter la poubelle où se trouvaient tampons et serviettes.
« Si tu veux faire déborder la cuvette, il faut boucher le fond comme il faut. »
Et il tira la chasse à répétition avant de bloquer la machine pour qu'elle coule sans arrêt. Il regarda le plus jeune, fier de lui, les mains sur les hanches.
« Et voilà le travail. Maintenant, déguerpissons. »
Et il était parti pour ne pas se faire prendre, embarquant avec lui le plus jeune sans lui demander son reste. De toute manière, il ne voyait pas comment on pouvait le soupçonner, il avait toujours été tellement sage.


« Plus haut Émil, tu es souple, alors lève la plus haut cette jambe. »
L'albinos grogna et se laissa tomber au sol. Il en avait marre. Il n'y arrivait pas. Ce n'était pourtant pas bien compliqué, il y arrivait, seul, chez lui. Dépité, il ne vit pas la jeune femme s'approcher pour venir poser ses mains sur ses épaules pendant qu'il ruminait.
« Le problème chez toi, c'est que tu ne supportes pas ton corps. Pas besoin d'être devin, il suffit d'un coup d'oeil pour voir que tu n'en prends pas soin et que tu ne manges pas bien non plus. »
Il l'écoutait, plongé dans ses pensées. Ce n'était pas faux, mais imaginer qu'elle puisse le voir si facilement lui faisait peur. Elle commença à lui masser les épaules, puis reprit :
« Ne t'arrêtes pas à l'apparence qu'il a, concentres-toi sur tout ce qu'il peut ressentir. Ce n'est pas beau . N'est-ce pas agréable de pouvoir sentir autant de choses ? Chacun de tes muscles s'étirer, ton corps se tordre jusqu'à atteindre une limite que tu repousses sans cesse. Pense s'y pour la prochaine fois et file. »
Elle lui sourit, puis il se releva, rassembla ses affaires et rentra chez lui, où il s'affala sur son lit.

« Voilà ! Comme ça c'est parfait ! »
Il se sentait fier et surtout, il se sentait vivant. Pendant presque un mois il avait réfléchi à ce que signifiait son corps. Toutes les sensations qu'il pouvait ressentir. Les odeurs, le toucher, mais également tout ce qui l'habitait. Toutes ces petites choses en lui, il était un microcosme à lui-même et cette idée lui plaisait.

« Je crois que c'est à droite...
-Tu es certain ?
-Oui papa. »
Ils se trouvaient à présent devant le nouveau lycée qu'il allait intégrer. Stressé, il regarda Adam assit à ses côtés, à l'arrière de la voiture. Lui commençait sa première année ici, et l'albinos avait demandé à changer de lycée pour pouvoir profiter de l'option danse qu'il profitait, mais également parce que le plus jeune y était, il était plus à l'aise. Il souffla doucement, puis sorti de la voiture pour aller chercher les valises dans le coffre. Il était prêt, du moins, il l'espérait.





Qui suis-je vraiment ?
Pseudo : Allister, Alex
Âge : 16 ans, bientôt 17
Comment avez-vous connu le forum ? en fouinant sur internet, il y a quelques années
Un commentaire ? Boucher les chiottes, ça forme des liens.



Emil Kayser
Emil Kayser
Devoirs rédigés : 112
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Dim 22 Jan - 20:00
Ouiiiiiii, re-bienvenue Allister (Je peux te surnommer Ally ?) ! Débizou ;w;
Akane Hayashi
Akane Hayashi
Devoirs rédigés : 2713

Qui es-tu vraiment ?
Who are you ?:
En couple ou Solo: /
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Lun 23 Jan - 20:14
bonjour. jtmjtmjtmjtmjtmjtm j'ai hâte de créer Adam. éé
Calypso I. Lurantis
Calypso I. Lurantis
Devoirs rédigés : 13
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Ven 27 Jan - 13:21
Rebienvenue à toi et bon courage pour ta fiche !
N'oublie pas d'envoyer le mot de passe du règlement à Pandora si ce n'est pas déjà fait.

Sinon.... VIktooooorreuh *bavouille* Je n'oublie pas Cris non plus !!
Camille Laureneil
Camille Laureneil
Devoirs rédigés : 42
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Mar 31 Jan - 22:17
Akane : Mooooh merci !! Et bien sûr que tu peux m'appeler Ally !!! ovo
Calypso : Omg, j'ai hâte de pouvoir RP avec Adam et Emil ~
Camille : Merci~! J'envoie le message dès que j'ai le temps, c'est un peu compliqué avec l'heure à laquelle je dois donner mon ordinateur à ma mère... :'DD Et oui, pense à Cris, il est si parfait.
Emil Kayser
Emil Kayser
Devoirs rédigés : 112
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Dim 19 Fév - 0:52
Tututut !

Un mois s'est écoulé, comptes-tu toujours finir ta fiche ? Si tu rencontres un soucis IRL et que tu ne peux pas finir ta présentation dans les temps, tu es prié de nous avertir dans l'espace dédié aux absences. Si tu ne témoignes d'aucun signe de vie avant le 26 février, ta fiche sera invalidée et en attente de suppression.

Merci pour ta compréhension.
Camille Laureneil
Camille Laureneil
Devoirs rédigés : 42
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Ven 3 Mar - 18:40
Hey !

Je compte bien terminer ma fiche et je le ferais ce week-end sans aucun doute.
Désolé pour cette attente.
Emil Kayser
Emil Kayser
Devoirs rédigés : 112
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Jeu 16 Mar - 23:30
Petit message pour dire que ton personnage est validé. Je ferai les modifications nécessaires et j'éditerai ce post demain. Bisouilles !
Camille Laureneil
Camille Laureneil
Devoirs rédigés : 42
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Ven 17 Mar - 18:09
Merci beaucoup !!!! o/
Emil Kayser
Emil Kayser
Devoirs rédigés : 112
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